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SOS Villages d'Enfants en Ouzbékistan
Il existe actuellement trois villages d'enfants SOS, un foyer de jeunes SOS et six centres sociaux SOS en Ouzbékistan. SOS Villages d'Enfants a commencé à travailler en Ouzbékistan en 1996. Le pays était en pleine mutation économique et sociale en raison des récents changements politiques. La capitale, Tachkent, a accueilli les premiers programmes SOS Villages d'Enfants. Le travail de SOS Villages d'Enfants s'est poursuivi pour répondre aux besoins des enfants, des jeunes et des familles locales : nous opérons désormais sur trois sites en Ouzbékistan.
Quelques faits sur l'Ouzbékistan
La République d'Ouzbékistan est située en Asie centrale. Il a des frontières avec le Kazakhstan au nord et au nord-ouest, le Kirghizistan et le Tadjikistan à l'est, l'Afghanistan au sud-est et le Turkménistan au sud.
L'Ouzbékistan compte environ 28.1 millions d'habitants (juillet 2011). La majorité de ses habitants sont des Ouzbeks, mais il existe également des minorités tadjikes, russes, kazakhes et tartares, entre autres. Sa langue officielle est l'ouzbek. Environ 38 % de la population vit dans des zones urbaines, la capitale Tachkent abritant environ 2.2 millions d'habitants.
L'Ouzbékistan est devenu indépendant de l'Union soviétique en 1991.
Une répartition inégale des richesses
L'Ouzbékistan a perdu ses subventions russes en 1991 ; cela a conduit au déclin économique du pays. L'économie ouzbèke repose principalement sur la production et l'exportation de coton : c'est l'un des plus grands exportateurs et producteurs de coton au monde. Afin de cultiver intensivement le coton, un plan d'irrigation complexe a été créé, ce qui a eu des effets négatifs et durables sur l'environnement. Au cours des dernières décennies, la grande mer d'Aral a diminué d'un dixième de sa taille, affectant ainsi la vie des personnes vivant à proximité. Avec un taux de chômage de 70 %, de nombreuses personnes ont été contraintes de quitter la région pour gagner leur vie ailleurs. De plus, la forte dose de pesticides et d'engrais utilisés pour la culture du coton a également causé une pollution des sols.
Environ la moitié de la population de l'Ouzbékistan travaille dans l'agriculture. Cependant, seuls environ 35 % du territoire ouzbek peuvent être cultivés car le reste du pays est un désert. Environ un cinquième de la population travaille dans l'industrie manufacturière et XNUMX % dans le secteur des services.
Bien que l'Ouzbékistan ait réalisé quelques progrès économiques depuis son indépendance en 1991, de fortes différences de revenus existent toujours car la richesse est répartie entre une petite élite. Le taux de pauvreté, en particulier dans les communautés rurales, reste élevé – environ 45 % de la population vit avec moins de 1.25 USD par jour. La corruption reste un problème et les rapports suggèrent qu'elle s'aggrave plutôt qu'elle ne s'améliore.
Un certain nombre d'agences internationales ont critiqué l'attitude de l'Ouzbékistan vis-à-vis des droits de l'homme. La traite des êtres humains est une préoccupation dans le pays. Les filles sont souvent emmenées d'Ouzbékistan et victimes de la traite à l'étranger, ou envoyées dans une autre région de l'Ouzbékistan pour travailler comme domestiques. Les hommes sont obligés de travailler dans la construction ou l'agriculture.
Récemment, le VIH/SIDA devient de plus en plus préoccupant. L'Ouzbékistan est un pays de transit pour le trafic de drogue, et comme les drogues sont devenues plus disponibles, il y a eu une augmentation des toxicomanes par voie intraveineuse - en particulier dans les zones urbaines.
Situation des enfants en Ouzbékistan
Environ 39 % de la population de l'Ouzbékistan sont des enfants de moins de 18 ans. Les récents changements sociaux et économiques ont affecté la vie des jeunes. Par exemple, une réforme de l'éducation était prévue mais sa mise en œuvre a été lente ; et le chômage est particulièrement élevé chez les jeunes adultes quittant l'école.
Les enfants abandonnent souvent l'école pour travailler sur les marchés ou dans l'agriculture. Des rapports suggèrent que de nombreux enfants sont contraints de travailler dans l'industrie du coton, en particulier pendant la récolte d'automne. Cela a poussé de nombreux producteurs de vêtements occidentaux à boycotter le coton d'Ouzbékistan. Les enfants qui vivent et travaillent dans la rue sont un problème croissant. De nombreux enfants des zones rurales ont été contraints de se déplacer vers les zones urbaines pour survivre ou gagner de l'argent pour leurs familles.
La plupart des enfants pris en charge sont placés dans des institutions. En particulier, il existe une culture « d'institutionnalisation » des enfants handicapés. Le gouvernement ouzbek s'efforce d'améliorer les conditions dans ces installations. Les enfants quittant ce type de prise en charge ne sont pas préparés à une vie indépendante. La situation des filles est particulièrement mauvaise car elles ont tendance à se marier tôt, elles ne poursuivent pas d'études supérieures, perçoivent des salaires inférieurs et ont un accès plus limité aux services sociaux comme le logement.
Notre action
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Le village d'enfants SOS en Ouzbékistan offre des foyers aimants aux enfants orphelins et abandonnés |
3 VILLAGES | 190 Enfants orphelins et abandonnés |
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Les centres de jeunesse SOS en Ouzbékistan offrent aux jeunes un environnement aimant où ils apprennent à faire la transition vers une vie indépendante et à élargir leur éducation |
2 ÉTABLISSEMENTS JEUNESSE | 78 Les jeunes sous nos soins |
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Les centres sociaux SOS en Ouzbékistan ont pour objectif d'aider les familles, en particulier les femmes et les enfants, vivant dans les communautés voisines des villages d'enfants SOS à sortir progressivement de la pauvreté et d'aider les jeunes à devenir autonomes. |
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