Village d'enfants SOS Chiang Rai

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Villages d'enfants SOS à Chiang Rai

 

Pour SOS Villages d'Enfants, le sort des enfants des provinces pauvres du nord du pays est depuis longtemps une préoccupation majeure. Une campagne de financement à l'échelle du pays a finalement permis à notre organisation d'aider ces enfants.

 

Le village d'enfants SOS de Chiang Rai a accueilli ses premiers enfants en janvier 2006. Il est situé sur la route principale reliant Bangkok au nord, à environ 12 km de l'aéroport international de Chiang Rai. Un hôpital, un marché, des écoles, un collège et une université se trouvent dans un rayon d'environ 12 km.

 

SOS Villages d'Enfants tente de renforcer les familles locales en proposant un jardin d'enfants où des professionnels s'occupent des enfants pendant que les parents travaillent. Pour les familles pauvres, notamment les parents isolés, il est très important de disposer d'un endroit où leurs enfants soient gardés pendant la journée. Des repas chauds sont servis tous les jours au jardin d'enfants, ce qui aide les familles à bien nourrir leurs enfants.

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Les enfants dont les familles ne peuvent plus s'occuper d'eux peuvent trouver un foyer aimant dans l'une des 14 familles SOS. Afin de garantir leur bonne intégration dans la société, ils fréquentent le jardin d'enfants SOS avec des enfants locaux. Plus tard, ils fréquentent les écoles locales, où ils peuvent se faire des amis et faire partie de la communauté au sens large.

 

SOS Villages d'Enfants propose des programmes spéciaux pour les jeunes adultes. Ils peuvent vivre ensemble tout en suivant une formation professionnelle ou des études supérieures. Avec le soutien de conseillers qualifiés, les jeunes développent des perspectives d'avenir, apprennent à assumer leurs responsabilités et prennent de plus en plus leurs propres décisions.

Un avenir sombre pour les enfants dans l’une des régions les plus pauvres de Thaïlande

 

La ville de Chiang Rai est la capitale de la province de Chiang Rai, au nord de la Thaïlande. La province, frontalière avec le Myanmar (Birmanie) et le Laos, est l'une des régions les plus pauvres de Thaïlande. Traditionnellement, la population se consacre principalement à la culture de l'opium selon la technique de la culture sur brûlis. Bien que désormais illégale, cette forme de culture perdure et provoque la déforestation, augmentant ainsi les menaces écologiques telles que les inondations et les glissements de terrain. Cependant, en raison de l'éloignement de la région et du manque de ressources minières, la population n'a pratiquement pas d'autres moyens de gagner sa vie. Une grande partie de la population des provinces du nord est constituée d'immigrants en provenance des pays voisins. La plupart d'entre eux ne sont même pas officiellement enregistrés comme citoyens thaïlandais et n'ont donc aucun droit civil, ne peuvent pas exercer un emploi régulier ni obtenir de titres fonciers.

 

Poussés par la pauvreté et la malnutrition, de nombreux enfants birmans non accompagnés traversent chaque jour la frontière thaïlandaise. La plupart d’entre eux n’ont jamais reçu d’éducation formelle, car il n’y a que très peu d’écoles dans la zone frontalière du Myanmar (Birmanie) ; en outre, les écoles facturent généralement des frais de scolarité que les familles pauvres ne peuvent pas se permettre. Ces enfants sont donc obligés de gagner leur vie en Thaïlande en acceptant n'importe quel emploi qu'ils peuvent trouver. Beaucoup d'entre eux ne parlent pas la langue thaïlandaise et finissent donc par effectuer des travaux subalternes dans des salons de thé, des restaurants ou des hôtels ou, dans le pire des cas, se livrer à la prostitution ouverte ou clandestine. En raison des expériences traumatisantes de leur enfance, une fois devenus plus âgés, ils courent de grands risques de devenir dépendants des amphétamines produites localement, et nombre d'entre eux se retrouvent à travailler pour des barons de la drogue de la région. D’autres s’installent dans les grandes villes du sud, où bon nombre d’entre eux se livrent à des activités illégales. De nombreux rapports font état de trafic d'enfants vers d'autres provinces.

Notre action

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Icône de la maternelle de l'éducation de la petite enfance SOS
Le jardin d'enfants SOS en Thaïlande est un élément fondamental pour les besoins de développement précoce, y compris les compétences intellectuelles et sociales des enfants.
1 MATERNELLES 69 Élèves de maternelle
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Icône SOS Village
Le village d'enfants SOS en Thaïlande offre des foyers aimants aux enfants orphelins et abandonnés
1 VILLAGES 132 Enfants orphelins et abandonnés
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Icône du programme d'aide à la jeunesse SOS
Les établissements de jeunesse SOS en Thaïlande offrent aux jeunes un environnement aimant où ils apprennent à faire la transition vers une vie indépendante et à élargir leur éducation
1 ÉTABLISSEMENTS JEUNESSE 18 Les jeunes sous nos soins

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