Liberté pour Reena, Manju et Suniti - #putchildrenfirst

Vendredi, octobre 31, 2014
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Reena, dix-sept ans Indian fille, n'était jamais allée à l'école jusqu'à ce qu'elle arrive à SOS à douze ans, après la mort de sa mère et le remariage de son père. « Je vivais avec ma grand-mère qui vendait des vêtements et nous étions très pauvres ; nous avions à peine assez à manger et pas de vêtements convenables non plus. [Depuis que je suis venue] à SOS, j'ai une vraie mère ; J'ai terminé mes examens de 12e année; et, le meilleur de tous, je suis devenu un joueur de sport de niveau national en volley-ball. Je veux maintenant bien étudier et atteindre des objectifs dans le sport et gagner une bonne réputation pour ma grand-mère et pour SOS », déclare Reena avec détermination.

Avant l'aide de SOS, Reena était vulnérable à d'innombrables violations des droits de l'enfant. Les droits des enfants restent un problème important en Inde, où 12 % des enfants de moins de 15 ans travaillent et 47 % des filles sont mariées avant l'âge de 18 ans. L'histoire de Manju, XNUMX ans, montre à quel point ces droits de l'enfant peuvent être importants.

Enfant parrainé Manju - Nagapattinam, IndeLorsqu'elle a perdu ses deux parents il y a six ans, elle est venue Village d'enfants SOS Nagapattinam; mais elle n'y était que depuis cinq mois quand son oncle l'emmena dans son village. Elle n'a pas été autorisée à aller à l'école et a été traitée comme une domestique non rémunérée, confinée à la maison.

Après avoir enduré deux ans de misère, Manju a décidé de s'échapper et de retourner dans le seul endroit sûr qu'elle connaissait. Elle a mis en gage les bijoux de sa mère, a sauté la clôture à l'extérieur de la maison et a attrapé le bus, atteignant Nagapattinam uniquement la nuit. « Je n'avais que 14 ans lorsque cet incident s'est produit. J'ai beaucoup lutté pour arriver ici. Je n'ai aucune idée de ce qui se serait passé si je n'étais pas venu à SOS. J'ai un avenir aujourd'hui uniquement grâce à SOS. Ici, j'ai des amis, je peux regarder la télévision, j'ai la liberté d'être seule, j'ai ma mère SOS pour s'occuper de moi », explique Manju, qui veut devenir officier de la police indienne.

Suniti, qui a également dix-sept ans et est soutenu par le SOS Villages d'Enfants Pondichéry Programme de renforcement de la famille (FSP), a la même ambition. "SOS soutient notre famille depuis 2008 avec des livres, des conseils de carrière, des articles nutritifs et des examens médicaux", partage-t-elle. Grâce à cette aide, j'ai obtenu [une note de] 86 % en classe 10 ; SOS nous a aidés davantage, et avec des économies suffisantes, ma mère a également pu éduquer mes frères et sœurs. Je viens de terminer la classe 12. SOS protège les enfants du travail des enfants et les motive à aller à l'école.

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