SOS aide à traiter et à prévenir le paludisme en Éthiopie

Mercredi, Avril 8, 2015
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Zeyineba Abba est mère au foyer à Jimma, Éthiopie, qui souffre de maux de tête constants, de fatigue, de douleurs musculaires, de vomissements et d'une vision floue. Plus de la moitié de la population éthiopienne vit dans des zones rurales où l'accès aux soins de santé est limité. Heureusement, il existe un centre médical SOS dans la communauté de Zeyineba. 

Après des tests de laboratoire, le Dr Yimegnushal Mamo, l'agent de santé de l'établissement, a diagnostiqué à Zeyinaba le paludisme. Le médecin a insisté pour que Zeyineba et sa famille dorment sous une moustiquaire traitée pour prévenir le paludisme et pour évacuer l'eau stagnante autour de leur maison.

« Le paludisme est l'une des maladies courantes que nous traitons ici », explique le Dr Mamo. «Les deux périodes de transmission de pointe se situent entre mars et mai et entre septembre et décembre. Les infections se produisent principalement en raison du changement d'altitude et du début de la saison des pluies.

Distribution de médicaments antipaludiques à Jimma, en ÉthiopieSelon le ministère de la Santé, 75 % de la masse terrestre de l'Éthiopie est sensible au paludisme. Le Plan stratégique national de lutte contre le paludisme espère atteindre un taux de mortalité proche de zéro dans les zones endémiques du pays d'ici la fin de 2015. L'épidémie la plus récente remonte à 2003-2004, où plus de 2 millions de cas et 3,600 XNUMX décès ont été enregistrés.

A la pharmacie du centre médical SOS, Zeyineba est allée chercher ses pilules antipaludiques. « J'aurais été alitée si je n'étais pas venue au centre. Mon mari travaille à plein temps, donc mes enfants auraient été bloqués.

Le Dr Mamo traite environ 60 à 80 patients par jour. La femme de 38 ans travaillait dans un centre de santé géré par le gouvernement avant de rejoindre Centre Médical SOS il y a un an. "Travailler ici est une leçon d'humilité", dit-elle. «Au service des enfants orphelins et vulnérables, des soignants vulnérables et de leurs familles - essentiellement les membres défavorisés de la société qui, autrement, n'auraient pas les moyens de recevoir des soins médicaux décents. C'est ma façon de redonner. »


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